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30 août 2006

INTERNET ET LA POLITIQUE

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Grâce aux nouvelles technologies, il devient aujourd'hui possible de diffuser des idées, des opinions qui, il n'y a pas si longtemps, étaient condamnées à rester cloisonnées dans le cercle restreint des amis et de la famille. C'est la raison d'être de l'internet : mettre les uns et les autres en contact, ouvrir de nouvelles voies de partage.

Dans le domaine de la politique, cela permet parfois à certaines choses d'être rectifiées. Ainsi, grâce aux blogs, nous avons pu apprendre que les acclamations reçues par Jack Lang n'étaient que pure fantaisie de sa part. Il va devenir difficile à une certaine classe politique passéiste de continuer à pratiquer leur politique du mensonge.

C'est également grâce aux nouvelles technologies que Ségolène Royal a pu, bon gré

mal gré, imposer l'idée de sa candidature. Le Net a créé sa popularité et le Net lui permet de nous donner un avant-goût de la démocratie participative. En effet, chacune de ses idées est d'abord passée au crible par la base, afin ensuite de déterminer quelle serait la meilleure possibilité. et ainsi, une multitude de sites de soutien deviennent une source d'inspiration.

Quel contraste avec la méthode de Nicolas Sarkozy ! Lui fonctionne par centralisation. Le site officiel de l'UMP distille les idées, elles sont ensuite répercutées à l'échelon local. Quant au citoyen, il n'a qu'un seul droit : se taire. C'est un peu la société de demain que nous promet aujourd'hui le projet de l'UMP. Une cure d'opposition lui ferait le plus grand bien. Il pourrait ainsi reprendre contact avec la réalité.

HISTOIRE

    Le 30 août 1954, La France rejette le traité de la communauté européenne de défense. Cela aurait signifié une perte de souveraineté de la Défense nationale. Il est bien évident que cette décision a été très mal vue outre-atlantique. Il nous faut persévérer dans cette voie et éviter tout ce qui pourrait avoir pour conséquence une perte de souveraineté. Pour cela, il nous faut un traité politique simple avec nos partenaires européens qui exclut tout domaine partagé en politique extérieure. Et revoir certaines choses dans le domaine économique. Les technocrates bruxellois n'ont pas à décider du bien fondé d'une fusion. L'exécutif et le Parlement  français, représentant de la Nation, doivent rester seuls maîtres.

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